3 novembre 2007
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15:36
Je me lève à neuf heures,
Il fait beau, quel bonheur!
Quittant mon oreiller
Et mon lit si douillet,
J'aperçois ma minette,
Qui laisse sa couchette
Et vient à ma rencontre.
La tendresse qu'elle montre
Me touche énormément.
J'embrasse ma maman.
Je vais à la cuisine
Et beurre des tartines.
Un bon bol de café
Me comble tout à fait.
Je m'habille et m'apprête
Et enfin je suis prête.
Je me mets au travail
Et quelques fois je baille,
En pensant qu'après ça,
Il faudra faire cela.
Mais bientôt je termine.
Je quitte la cuisine,
Et fais ce qui me plait.
J'entreprends sans délai
D'accorder ma guitare,
Ou bien, s'il est trop tard,
De sortir prendre l'air
Sans aucune manière.
Puis arrivent douze heures,
Et dès que sonne l'heure
A l'usine d'en face,
Je rentre, tête basse,
Et j'attends mon papa
Pour prendre le repas
Que maman chaque jour,
Prépare avec amour.
Le repas terminé,
Nous buvons le café.
Et quand vient mon frérot
Nous lui servons très chaud.
On entend la radio
Qui donne les infos.
Puis papa et Jean Pierre
S'en vont à leurs affaires.
Je reste avec maman,
Et sans perdre de temps,
Nous faisons la vaisselle,
Et gardons notre zèle
Pour laver la cantine.
Il reste une sardine,
Je la donne à Furette.
Nous lavons les assiettes,
Les fourchettes, les verres,
Nous balayons par terre.
Et quand nous terminons
Nous mettons le feuilleton.
Celui-ci dure une heure,
Il est déjà seize heures.
Ensuite nous vaquons
A nos occupations.
Maman pique ou repasse
Tandis que moi j'entasse
Quelques rimes fragiles
Pour des vers mal habiles.
Puis quand vient le goûter,
Si je suis occupée,
Je m'arrête un instant
Et pour passer le temps,
En attendant papa
Qui rentre de ce pas,
Je prépare le pain,
le beurre et puis le vin.
Et nous mangeons ainsi
Du pain et des radis.
Puis je m'en vais dehors
Faire quelques accords
Avec mon instrument
Et mon cahier de chants.
Quand arrive le soir
Je range ma guitare.
Je me lave les mains
Puis mets avec entrain
Les couverts sur la table.
Je me sens bien aimable
Car c'est l'heure du souper
Et qu'il me faut manger
En compagnie des miens,
Pour ensuite, si c'est bien,
Regarder la télé,
Et aller me coucher,
Sans oublier de faire
Des gros baisers pour plaire
A mes parents que j'aime
Et qui en retour m'aiment.
J'emmène ma minette
Qui me suit sous la couette.
Elle me tient compagnie
Pendant toute la nuit.
C'est ainsi que s'achève
Ce poème, dont je rève
Qu'il puiss' se terminer
Comm' ce beau jour d'été.
Il fait beau, quel bonheur!
Quittant mon oreiller
Et mon lit si douillet,
J'aperçois ma minette,
Qui laisse sa couchette
Et vient à ma rencontre.
La tendresse qu'elle montre
Me touche énormément.
J'embrasse ma maman.
Je vais à la cuisine
Et beurre des tartines.
Un bon bol de café
Me comble tout à fait.
Je m'habille et m'apprête
Et enfin je suis prête.
Je me mets au travail
Et quelques fois je baille,
En pensant qu'après ça,
Il faudra faire cela.
Mais bientôt je termine.
Je quitte la cuisine,
Et fais ce qui me plait.
J'entreprends sans délai
D'accorder ma guitare,
Ou bien, s'il est trop tard,
De sortir prendre l'air
Sans aucune manière.
Puis arrivent douze heures,
Et dès que sonne l'heure
A l'usine d'en face,
Je rentre, tête basse,
Et j'attends mon papa
Pour prendre le repas
Que maman chaque jour,
Prépare avec amour.
Le repas terminé,
Nous buvons le café.
Et quand vient mon frérot
Nous lui servons très chaud.
On entend la radio
Qui donne les infos.
Puis papa et Jean Pierre
S'en vont à leurs affaires.
Je reste avec maman,
Et sans perdre de temps,
Nous faisons la vaisselle,
Et gardons notre zèle
Pour laver la cantine.
Il reste une sardine,
Je la donne à Furette.
Nous lavons les assiettes,
Les fourchettes, les verres,
Nous balayons par terre.
Et quand nous terminons
Nous mettons le feuilleton.
Celui-ci dure une heure,
Il est déjà seize heures.
Ensuite nous vaquons
A nos occupations.
Maman pique ou repasse
Tandis que moi j'entasse
Quelques rimes fragiles
Pour des vers mal habiles.
Puis quand vient le goûter,
Si je suis occupée,
Je m'arrête un instant
Et pour passer le temps,
En attendant papa
Qui rentre de ce pas,
Je prépare le pain,
le beurre et puis le vin.
Et nous mangeons ainsi
Du pain et des radis.
Puis je m'en vais dehors
Faire quelques accords
Avec mon instrument
Et mon cahier de chants.
Quand arrive le soir
Je range ma guitare.
Je me lave les mains
Puis mets avec entrain
Les couverts sur la table.
Je me sens bien aimable
Car c'est l'heure du souper
Et qu'il me faut manger
En compagnie des miens,
Pour ensuite, si c'est bien,
Regarder la télé,
Et aller me coucher,
Sans oublier de faire
Des gros baisers pour plaire
A mes parents que j'aime
Et qui en retour m'aiment.
J'emmène ma minette
Qui me suit sous la couette.
Elle me tient compagnie
Pendant toute la nuit.
C'est ainsi que s'achève
Ce poème, dont je rève
Qu'il puiss' se terminer
Comm' ce beau jour d'été.